Aujourd’hui nous avons rencontré Élodie Doua, bénévole sur le comité Bal en Noir du bec depuis deux ans, et on en a profité pour lui poser quelques questions. Voici son entrevue:
bec: Allo! Peux-tu te présenter en quelques mots?
Élodie : Allô, mon nom est Élodie Doua, ça fait comme un jeu de mots… « elle a dix doigts » (rires). Je travaille présentement chez Havas où je suis gestionnaire de projets. De soir, j’ai ma boîte qui s’appelle le Club Social avec ma partner Carolina, on y fait de l’événementiel. C’est pas mal ça… J’aime les gifs et puis le chocolat!
bec: Comment as-tu connu le BEC?
Élodie : J’ai connu le bec par l’entremise d’une collègue et amie, Stéphanie Alghabra-Lebon, qui m’a catapulté sur le comité (du bal en noir) un jour de janvier, en me disant : « tu vas voir tu vas aimer ça, elles sont ben le fun ». Et je suis encore là!
bec: Ton plus beau souvenir avec l’organisme?
Élodie : Je pense que c’est la première fois où j’ai assisté au bal en noir (en 2016 édition black mascarade). C’était la fois où j’étais sur le comité, pis c’est quand on venait de finir d’allumer toutes les chandelles et qu’autour de nous on a vu ce qu’on était capable de faire, avec le budget qu’on avait et l’équipe. C’est quand même assez impressionnant. Ce moment-là va toujours être un peu gravé dans ma mémoire.
bec: Ton évènement préféré dans tous les beaux évènements que l’on fait?
Élodie : Ben c’est sûr que j’ai… comment je peux dire ça… j’ai un penchant pour le bal en noir parce que je sais l’impact que ça a, mais aussi l’effectif monétaire qu’on est capable d’aller chercher en une soirée. Je pense que c’est mon évènement préféré. J’ai beaucoup de fun avec le comité là-dessus.
bec: Une édition préférée ?
Élodie : La prochaine, ça va être vraiment le fun (rires). Je sais qu’elle n’est pas encore là, mais ça va être le fun cette édition-là.
bec : Pourquoi crois-tu que le BEC fait une différence dans notre industrie ?
Élodie : Il y a quelques mois, on a eu une perte dans l’équipe d’Havas et c’est là que j’ai pu voir toute l’ampleur du travail du bec. Quand quelqu’un est aux prises avec une maladie qui est grave, avec une perte financière ou une situation qui est vraiment, vraiment difficile, le bec vient soutenir cette personne-là dans des sphères que son employeur ou sa famille ne peut pas nécessairement soutenir. Pour l’avoir vécu proche, j’ai vu non seulement comment cette équipe-là accompagne les gens, mais aussi comment ils accompagnent la famille et les collègues de ces gens-là. C’est assez extraordinaire tout le travail humain qui est fait. C’est une expérience qui est marquante et je remercie vraiment l’équipe qui a travaillé là-dessus. C’est émotif, mon dieu !
bec : Si tu pouvais nommer le prochain ambassadeur à faire une capsule, ce serait qui?
Élodie: Carolina M. Cabrale chez Akufen, you go girl !
bec : Merci Élo !
Élodie: Ok bye!
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